Comment mesurer le retour sur investissement d'un logiciel ERP ?

Vos objectifs sont-ils atteints ? Ou sur la bonne voie ? Le premier retour que vous pouvez obtenir concerne l'amélioration de l'efficacité opérationnelle ressentie, tant par l’équipe dirigeante que par l’ensemble des collaborateurs. Vous pouvez aussi vous aider de la datavisualisation pour consulter rapidement l’état de votre trésorerie, la croissance de l’activité et l’efficacité des nouveaux process.

 

Enfin, les feed-backs de vos clients et partenaires (sur la gestion de la facturation ainsi que la prise en charge des demandes pour ne citer que deux exemples) sont aussi de précieuses informations à récolter lorsque c’est possible.

Pour faire la comparaison, commencez par lister tous les coûts qui étaient auparavant associés à la mise en œuvre de votre précédent logiciel métier : les frais de licence, les coûts de personnalisation, le montant de la formation de prise en main, les charges de maintenance ou de support…

 

Si vous avez privilégié un ERP avec un système SaaS, cela facilite le contrôle de votre budget puisque vous ne payez que pour les ressources consommées par rapport au nombre d’usagers. Ce mode d’utilisation est bien moins coûteux qu’une installation en dur sur tous les posts de travail de l’entreprise.

 

De plus, vous bénéficiez aussi des mises à jour correctives et évolutives sans payer davantage !

Il est parfois difficile de mesurer le retour sur investissent d’un logiciel, notamment selon la nature de votre métier. Il faut vous reposer sur les éléments quantifiables pouvant être mesurés en chiffres mais également vos impressions personnelles comme le confort de travail, une meilleure prise de décision ou l'amélioration de la collaboration interne entre tous les pôles.

 

Prenez en compte à la fois les avantages tangibles et intangibles lors de l'évaluation de l'efficacité de votre nouvel logiciel ERP. Et surtout, laissez-vous du temps ! Il ne sert à rien de faire ce point ROI au bout de quelques semaines, accordez-vous au moins une année d’essais pour pouvoir cumuler un maximum de données, d’autant plus si votre activité est soumise à une forme de saisonnalité !